Les soviets plus l'électricité

un cinévoyage au pays qui n'existe plus

superautoproduction en Sviemacolor de Nicolas Rey
trois heures de transport en commun - 16 mm - 2001
 
 
 

Carte postale





 
 
 
Girafe de Magadan

Parcourir la Russie comme on fait le tour d'une maison qui n'est pas la sienne.

« C'est le deuxième jour qui est pénible. Dans le train, c'était pareil, le deuxième jour je trépignais d'impatience. Ensuite, à partir du troisième, ça va mieux. On s'habitue à la lenteur, à la monotonie du paysage, à la vie faite de courts cycles sommeil-nourriture-distraction totalement sans rapport avec les horaires habituels d'une journée.»

Des publicités pour le linoleum comme s'il s'agissait d'une pierre précieuse, et des villes entières - construites sur des mines d'or - finalement abandonnées.

Il n'y a pas de chaos russe. Simplement l'«Europe» qui s'étend désormais jusqu'au Pacifique, et non plus jusqu'aux fantomatiques Monts Oural.


 
 

 Lire un texte de Boris Lehman à propos du film

Lire un texte d'Isabelle Regnier paru dans Le Monde
au moment du Festival de Lussas 2002

 

Le film a reçu le prix de la Fédération Internationale de la Presse Cinématographique (FIPRESCI) au Forum du Jeune Cinéma du Festival de Berlin 2002,
"pour son intérêt vis-à-vis des survivants du goulag sibérien et l'économie de moyens de son style de narration combinant astucieusement les images et les sons."



Pour obtenir un dossier de presse complet,
merci de me contacter: contact@nicolasrey-films.net

Le film dans sa version française est distribué par Light Cone

Quelques images


 

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